vengeance-de-ma-femme

 
Je reprends le récit là où je l'avais laissé la semaine dernière :

Stéphanie, ma femme, m'avait laissé un choix limité : Dégager de notre chambre pour m'installer seul dans la chambre d'amis.

A cette époque, j'avais encore confiance en mon pouvoir de persuasion : J'étais sûr de pouvoir reconquérir ma femme et retrouver ma place naturelle au sein du foyer... et j'avais le secret espoir que les vacances d'août, prévues dans 3 semaines allaient nous permettre de nous réconcilier facilement...


J'ai vite déchanté !


Les trois semaines sont passées très vite, sans qu'aucun changement n'intervienne dans notre vie : j'étais toujours dans la chambre d'amis, et je n'ai pas beaucoup vu Stéphanie sur cette période.

Puis le jour du départ arriva...

Toute la famille prit la direction la Bretagne et la location que nous avions prévue à Benodet, jolie petite station balnéaire au sud de Quimper...

Dès notre arrivée, je reçu ma première douche froide des vacances, Stéphanie qui s'était occupée de remplir la voiture avait tout simplement oublié d'y mettre mon sac de voyage... Je me retrouvais donc sur notre lieu de vacances, sans aucune affaire de rechange, sans mes affaires de toilettes et sans mes bouquins ni mon Ipad...Bien sûr je savais qu'elle avait fait exprès de laisser mes affaires à Paris, mais elle nia toujours, en prétextant que les affaires des filles l'avaient obnubilées. Elle me reprocha également de ne pas m'être occupé moi-même de mes affaires...

Cette première humiliation me déstabilisa beaucoup... Je me retrouvais sans mes repères de lecture et sans accès à Internet, qui sont mes occupations favorites en vacances...

Alors que ma famille s'installait en cette fin de journée, je m'empressais d'aller acheter le strict nécessaire...

Et la deuxième douche froide arriva à ce moment là : Stéphanie me sortit un billet de 20 Euros et me dit que c'était tout ce que j'avais le droit de dépenser... Elle m'expliqua qu'elle avait fait les comptes et qu'elle avait pour ainsi dire tout payé. Elle rajouta qu'elle allait dorénavant surveiller mes dépenses en rapport avec mon salaire !

Comme je ne voulais pas faire d'histoire devant les filles, je me contentai de cette somme pour m'acheter l'essentiel...

A mon retour, toute la famille avait pris ses quartiers d'été et j'étais relégué dans le salon, puisque notre location ne comportait qu'une chambre adulte et une pour les enfants...


Ce soir là, ma femme s'enferma dans sa chambre sans que je puisse la voir, l'approcher ou lui parler des événements de la journée...

Les jours suivants se déroulèrent normalement, n'ayant pas de maillot de bain, j'allais à la plage en short, que je ne quittais pas de la journée, ce qui fit beaucoup rire Stéphanie... Du coup je m'occupais beaucoup de mes filles, en jouant avec elles... d'autant plus que Stéphanie, récupérant de son rythme de travail intense, me laissait seul avec elles pour faire de longues siestes.

Au bout de 3 jours, comme nous allions à la plage toujours au même endroit et à la même heure, me filles se sont liées d'amitié avec des copines de leurs âges qui étaient voisines de serviettes...

Pour ma part, je faisais connaissance avec Laurence, leur mère, une belle brune trentenaire au rire sonore et aux yeux pétillants.

Elle était instit' et seule en vacances en Bretagne pendant que son mari travaillait comme un dingue dans le nord de la France.

Naturellement, le troisième jour, nous avions rapproché nos serviettes pour parler ensemble plus facilement...

Bien sûr, Stéphanie débarqua sur la plage à ce moment là et nous vit proches en train de rigoler... J'ai immédiatement vu à son air, qu'elle n'appréciait pas du tout la situation... Elle s'installa, je fis les présentations... Elle ne fit aucune remarque... comme si de rien n'était...
Puis au bout de 10 minutes, ma femme s'adressa à moi d'une voix cajoleuse : "Mon chéri, tu pourrais aller à la pharmacie, j'ai un mal de tête pas possible, il faudrait que tu m'achètes une boite de Doliprane... et tu nous ramèneras des glaces aussi !".

Bien sûr je m'empressais d'accepter, je me levai, et alors que je cherchais son porte monnaie dans son sac, ma femme rajouta "Ah ! et prends l'ordonnance dans mon sac pour que tu puisses acheter une boite de viagra, la dernière fois tu n'en avais pas et ça à été une catastrophe !".

Elle venait de dire cette phrase d'une façon nette et suffisamment forte pour que tout le monde autour de nous dans un rayon de 3 mètres l'entende !!!  Y compris et surtout Laurence qui discutait avec nous l'instant d'avant...

Je n'ai pas réagi ... j'ai rougi en regardant autour de moi, estomaqué par ce qu'elle venait de faire !

Je vis nettement le sourire sur le visage de Laurence... Ma femme venait de me ridiculiser une fois encore devant des étrangers et je n'ai pas réagit !

Pire j'ai senti ces picotements caractéristiques au niveau du bas ventre... cette situation m'excitait !!!


Je disparu en vitesse, non sans avoir remarqué que ma femme s'était installée à coté de Laurence.


20 minutes plus tard, j'étais de retour. Immédiatement j'ai compris que l'ambiance avait changée. Stéphanie et Laurence partageaient une complicité que seule deux femmes se faisant des confidences peuvent atteindre dans un temps aussi court...
Et de fait, le regard de Laurence n'était plus qu'indifférence à mon égard... Stéphanie avait réussit à me subtiliser la première personne avec qui j'avais lié connaissance !

La discussion entre elles allait bon train... me laissant volontairement sur le coté... Puis ma femme se rappelant sans doute que j'existais se tourna vers moi : "A dit-moi mon chéri, je disais à Laurence que tu adorais les enfants et que tu te ferais une joie de garder ses filles et les nôtres ce soir pendant que nous allons aller danser... Elle me disait que comme elle était seule ici, elle n'avait pas un moment pour souffler... J'ai donc proposé que les enfants viennent dormir à l'appart ce soir et que tu t'occupes d'elles. Tu fais à manger, un peu de télé ensuite et ses filles n'ont qu'à dormir dans mon lit ce soir, je dormirai chez Laurence ! Et puis ça te fera de l'argent de poche pour les heures de Baby-sitting..."

Elle venait de dire cette dernière phrase en rigolant... mais nos yeux se croisèrent et j'ai compris tout le sérieux qu'il y avait dans cette blague...

Je balbutiais... "mais mais, vous voulez faire quoi ce soir ? un resto ?"

"Non pas seulement" me répondit-elle, "on ira en boîte ensuite... nous avons envie de nous éclater !!! et entre filles !!!"


En gros, elle ne me laissait pas le choix... j'ai donc accepté à contre coeur de m'enfermer et de faire garde chiourme ce soir là, pendant que ma femme et sa nouvelle amie iraient s'éclater de leur coté !


Ce que je ne savais pas, c'est que ce ne fût que le premier soir d'une longue série... sur ces 3 semaines de vacances, le scénario se renouvela tous les soirs, à part 4 fois... pendant 14 soirs, 14 nuits, je suis resté à l'appartement à m'occuper de 4 filles entre 4 à 7 ans... L'éclate quoi !!

Et 14 fois ma femme a découché pour aller sois disant dormir chez sa copine Laurence...


Enfin, cette explication a été utilisée au début... car rapidement, j'ai compris qu'il n'y avait pas que la danse le soir...

En fait ma femme a très vite rencontré un homme dans une boite de nuit... cet homme a été très entreprenant avec elle...
Tellement entreprenant que ma femme a couché avec lui puis a partagé ses nuits avec lui... revenant au petit matin, les cheveux défaits, les traits tirés par la fatigue, le maquillage imparfait et certains vêtements manquant ou déchirés.


Cet homme s'appelait Yves.

Je m'arrête quelques minutes sur lui.

Je pense sincèrement que si ma femme avait rencontré un autre homme plus "classique", elle se serait contenté de sa vengeance en couchant avec un homme, puis qu'elle serait passée à autre chose...voir qu'elle serait revenue vers moi...

Sauf que Yves n'est pas un homme "classique". Yves fréquente les boîtes échangistes, c'est un dominateur qui sait y faire avec ses proies, il sait mener les femmes qu'il rencontre à la baguette...

Et surtout, surtout, il sait écouter... comprendre... et conseiller en retour...

Quand ma femme lui a expliqué ce que j'avais fait, il lui a expliqué qu'elle était trop bonne de me garder, qu'elle avait tout pour elle : la beauté, l'autonomie financière, les enfants... qu'elle pouvait maintenant s'éclater... et me jeter... ou alors en profiter pour se venger... en prenant une totale emprise sur moi.

Cette dernière proposition à fait écho à sa détresse... et c'est à ce moment qu'elle a décidé de me faire payer longuement l'affront du mois précédent.

Elle a donc cédé à ses avances... et très vite j'ai été au courant de son existence.

Un matin alors que j'emmenais toute la troupe de filles à la plage, elle est venue me rejoindre.

Elle avait l'air fatiguée, elle avait du mal à marcher et à s'asseoir, mais elle rayonnait de bonheur.

Elle sentait fort le foutre... Ses cheveux étaient sales et poisseux, j'ai compris par la suite qu'elle avait reçu le sperme de son amant sur le visage et sur les cheveux...


"Eric, j'ai rencontré un mec il ya déjà quelques jours. Je couche avec lui, c'est génial, bien mieux qu'avec toi ces derniers temps... Il est endurant, imaginatif, et il comprend ce que je veux, bref, rien à voir avec toi, je prends mon pied...

Il va falloir que tu t'y fasses ou que tu dégages... c'est comme ça... Je sais que ce que je te demande est difficile, mais je n'ai plus l'intention de me laisser mener en bateau... Je décide de ma vie maintenant... Donc je prends un amant, si tu n'es pas d'accord ou si tu ne supportes pas, tu peux partir..."

Elle se releva et parti sans que je n'ai pu lâcher le moindre mot... A cet instant, j'ai senti que les choses m'échappaient complètement.


Je n'ai rien dit non plus ensuite... "Qui ne dit mot consent" dit-on... Stéphanie a donc continué à voir Yves tous les soirs...

Mais petit à petit, insidieusement, les choses ont changé entre nous... la dernière semaine, Stéphanie rentrait pour le petit déjeuner... et nous avons commencé à parler... Enfin elle a commencé à me parler de ses nuits avec lui.


Elle m'a raconté la première fois qu'ils ont couché ensemble : Il l'a draguait depuis 2 jours, et ils s'étaient donné rendez-vous au restaurant le lendemain tous les deux, seuls.

Dès le début du repas, il lui a dit qu'il la désirait énormément, et qu'il souhaitait lui faire l'amour ce soir là. Que si elle ne souhaitait pas la même chose, ils arrêteraient la soirée immédiatement. Il rajouta qu'il la sentait prête à céder à ses envies.

Stéphanie m'avoua que ce discours très direct l'a troublé et l'a touché au plus profond d'elle. Jamais aucun homme ne lui avait parlé ainsi... Elle rentra dans son jeu et répondit qu'effectivement elle était prête à lui céder dans la nuit s'il se montrait à la hauteur.

Yves fît parler ma femme, elle décrivit notre vie, notre rencontre, nos enfants... et notre quotidien. Elle termina bien sûr en racontant ma lamentable tromperie du mois précédent et de l'ambiance qui régnait depuis au sein du foyer.
Immédiatement Yves reconnu le désir de vengeance de ma femme sous la description qu'elle venait de faire. Quelques questions de sa part bien orientées pour savoir si ma femme m'avait déjà trompé de son coté, si c'était la première fois qu'elle me pinçait...
Il exploita sa volonté de vengeance pour arriver à ses fins...
Ma femme m'avoua que ces questions lui ouvrirent beaucoup les yeux : non elle ne m'avait jamais trompé... et pourtant les sollicitations n'avaient jamais manquées... et elle n'était pas sûre de ma fidélité passée, puisque j'avais triché dernièrement, rien ne pouvait la rassurer sur ma fidélité passée...

Petit à petit, Yves leva ses dernières barrières de femme respectables... au plat principal, il lui caressait déjà les cuisses sous la table, et au dessert il lui demanda carrément d'ôter son string...
Très troublée ma femme se leva pour aller aux toilettes et s'exécuter... mais Yves la retint en lui demandant d'enlever son string en restant à table.
Elle obéit et fit glisser la petite pièce de tissu au sol, le plus discrètement possible. Yves se pencha pour le ramasser et lui ordonna d'ouvrir ses cuisses pour avoir un aperçu de sa chatte.
Ma femme m'avoua que cette situation l'excitait au plus haut point et qu'elle s'exécuta. Yves prit son temps pour contempler l'intimité de ma femme. Puis se relevant il la complimenta, lui disant qu'elle avait une fente divine... Il rajouta qu'il préferait les chattes épilées, et que si ma femme souhaitait lui plaire, il faudrait qu'elle aille se faire débroussailler. Encore une fois, ma femme fût très troublée par cette demande... Moi qui la connaissais revendicative et presque féministe, contre cette mode des sexes glabres, je fût surpris qu'une telle demande trouve écho à ses oreilles.

Je lui demandais alors : "tu ne l'as pas fait quand même ?" elle me répondit avec un grand sourire : "dès le lendemain mon chéri !! je suis allé chez l'esthéticienne et hop ! elle a tout enlevé. C'est génial tu sais ? Laurence aussi le fait depuis longtemps et elle en très contente !"
J'étais abasourdi : Ma femme qui refusait d'aborder ce sujet avec moi depuis toujours, venait de céder à la première demande d'un inconnu...

Ma femme continua à me raconter sa première soirée avec Yves : Après le restaurant, ils sont partis se promener le long de la plage...
C'est là qu'il a commencé à la tripoter, insérant des doigts dans ses fesses et lui caressant le sexe... Son soutien gorge à vite prit le même chemin que son string... lui laissant l'accès direct à ses seins... Puis ils se sont isolés, il a posé la main de ma femme sur son sexe déjà gonflé...
Elle l'a branlé, là dehors, à quelques mètres de notre appartement... il a jouit en aspergeant son bras de son foutre collant. Il lui a ensuite ordonné de lécher ce jus. Là encore je fus abasourdis d'entendre qu'elle s'était éxecuté sans protester. Elle détestait avaler ou lécher mon sperme !!!
Pendant qu'elle passait sa langue sur son avant-bras et ses doigts, il avait passé sa main sous sa jupe et à son tour, il l'a branlé en lui mettant plusieurs doigts dans le vagin et en s'activant sur son clitoris. Elle m'avoua qu'elle avait prit alors un pied d'enfer. Ma femme venait de jouir sous les doigts d'un inconnu, appuyée contre un mur à l'extérieur, aux yeux de tous !!!!
Par la suite, ils sont partis en boîte et ont dansé jusqu'à 2 heures du matin. Ma femme me précisa qu'elle n'avait pas remis son string et qu'il en profita pour lui mettre régulièrement des doigts lors de la soirée.
Et il l'a fit boire... plus qu'un peu... Vous devez savoir que Stéphanie n'est plus la même avec 3 ou 4 verres dans le nez... Nos plus mémorables séances de sexe ont été faites alors que Stéphanie était "pompette". Elle devient une sorte de chaudasse incontrôlable qui se laisse aller TOTALEMENT.
Yves a donc ramené chez lui une bombe qui ne demandait qu'à exploser.
Déjà dans la voiture, il lui a demandé de le sucer sur le trajet. Une fois arrivés dans son parking, ma femme m'a avoué qu'il l'a culbuté sur le capot encore chaud de sa voiture.
Puis son affaire faite, ils sont montés chez lui.

A nouveau l'alcool fût de la fête... et à nouveau il l'a prise à même le carrelage, Stéphanie me décrivait une séance bestiale où elle était soumise aux désirs les plus vicieux d'Yves.

Cette nuit là, il la baisa 2 fois et se fît sucer une fois au petit déjeuner...
Ma femme avait adoré son endurance, son originalité, le fait qu'il l'avait dirigé et même forcée à plusieurs reprises... Elle avait avalé son sperme le matin, il lui avait jouit sur le visage au cours de la nuit... Bref que des trucs que nous n'avions jamais faits ensemble... Et elle avait adoré ça !!!
Plus que tout elle avait jouit intensément à plusieurs reprises sous ses coups de bite et de langue experts...


J'avais les boules... Je ne savais pas qu'être trompé pouvait faire aussi mal...
Ce récit était terrible pour moi, il marquait la découverte par ma femme que des amants merveilleux existaient et que depuis longtemps, mes prestations étaient des petites merdes. Que je n'avais jamais su lui donner en plusieurs années de mariage ce qu'un inconnu lui avait donné en quelques heures !!!
Je sentais qu'elle m'en voulais de ne pas lui avoir donné accès à ce plaisir depuis tant d'années...